Bedonnant mais encore alerte et le regard
vif, il me montrait le parc de la maison où je l’accompagnais
« Vous voyez, je ne m’ennuierai pas. J’ai avec moi la vieille forêt. Une maison de retraite, c’est comme une forêt primaire : tous les personnages y sont mélangés dans le désordre, tordus, chenus, attendant la prochaine tempête. » Se tournant vers moi, il me dit, mi-figue mi-raisin «vous pourrez en faire un roman ».