- Dis-moi, Mije, tu ne sors pas ?
- Il y a trop de voitures.
- Ce sont les vacances
- Ils ont le droit de m’écraser alors et leurs matous de me narguer dans mon jardin
- Il faut accepter le partage. Tu es toujours là, toi, tu te rattraperas.
- Ce n’est pas que je les déteste mais je voudrais qu’ils me regardent autrement, qu’ils me respectent.
- On ne respecte pas les ploucs
- Dis-donc, toi, je ne suis pas plouc
- Peut-être trouveras-tu le prince charmant ?
- Je les connais tu sais : ils te font des enfants et après ni vu ni connu, ils s’env ont sans laisser d’adresse.
- Alors, que veux-tu ?
- Qu’on me laisse vivre ma vie tranquille
- Et sans boîte de nuit ?
- Là j’accepte, c’est tout ce que çà apporte, les vacances des autres chez moi.