Le paysan vit avec sa terre une sorte de symbiose qui le transforme autant qu'il la façonne.
Mais comment expliquer l'enthousiasme des nouveaux venus pour un Bassin dans lequel ils s'installent tardivement et dont ils ne connaissent généralement rien de fondamental quand ils
arrivent?
Le paysage sous leurs yeux, l'air qu'ils y respirent ou le climat (malgré les tempêtes) ont-ils donc "force de foi"? A moins que ce soit l'espoir de rupture d'une vie passée pour endosser
"l'habit de gloire" d'une retraite tranquille?